Home » Moscou juge l’Occident « responsable » de la mort d’un journaliste russe en Ukraine
Bilateral Relations Defence Diplomatics Economy Electricity Europe European Union Featured Global News

Moscou juge l’Occident « responsable » de la mort d’un journaliste russe en Ukraine

Cette page n’est plus actualisée. Notre couverture de la guerre en Ukraine continue ici.

  • 18 h 03 : l’armée ukrainienne dit avoir attaqué « des infrastructures militaires » russes en Crimée

L’armée ukrainienne a confirmé avoir attaqué « des infrastructures militaires » russes dans la péninsule annexée de Crimée, provoquant notamment l’explosion d’un dépôt de munitions dans la matinée, selon les autorités prorusses.

« La frappe sur des installations militaires dans le territoire temporairement occupé de la Crimée a été menée par les forces ukrainiennes », a déclaré à l’AFP une source interne à l’armée ukrainienne ayant requis l’anonymat.

  • 17 h 51 : Moscou dénonce « un crime odieux » et promet « une réponse » à la mort d’un journaliste russe tué en Ukraine

Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié de « crime odieux » la mort dans un bombardement ukrainien d’un homme que l’armée russe présente comme un journaliste de l’agence de presse Ria Novosti.

La Russie juge l’Occident « responsable » aux côtés de Kiev et promet « une réponse » à cette attaque.

« Tout indique que l’attaque contre le groupe de journalistes n’a pas été menée par hasard », a affirmé la diplomatie russe dans un communiqué. Selon le ministère, « les journalistes rassemblaient des éléments pour un reportage sur le bombardement par des militants du régime de Kiev de colonies dans la région de Zaporijjia avec des armes à sous-munitions interdites dans de nombreux pays du monde ».

  • 14 h 55 : Zelensky dit avoir échangé avec Stoltenberg sur le « déblocage » du couloir céréalier en mer Noire

Le président ukrainien a déclaré avoir eu un échange téléphonique avec le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, sur le « déblocage » du couloir céréalier en mer Noire, quelques jours après la fin d’un accord avec la Russie crucial sur le sujet.

« Nous avons partagé des évaluations de la situation actuelle en mer Noire et des risques qu’elle pose pour la sécurité alimentaire mondiale. Nous avons également identifié avec M. Stoltenberg les étapes prioritaires et futures, nécessaires au déblocage et à l’exploitation durable du couloir céréalier en mer Noire », a indiqué Volodymyr Zelensky sur Twitter. 

  • 14 h 02 : un journaliste russe de l’agence de presse Ria Novosti tué en Ukraine  

Un journaliste russe de l’agence de presse Ria Novosti, Rostislav Jouravlev, a été tué dans un bombardement ukrainien dans la région de Zaporijjia, dans le sud de l’Ukraine, a annoncé l’armée russe dans un communiqué.

« Des unités des forces armées ukrainiennes ont lancé une attaque d’artillerie contre un groupe de journalistes », « blessant quatre journalistes plus ou moins gravement », selon l’armée russe. « Lors de l’évacuation, Rostislav Jouravlev (…) est décédé des suites de ses blessures, à la suite d’une explosion de sous-munitions », a-t-elle ajouté.

L’état de santé des trois autres journalistes blessés est « stable », selon l’armée russe qui a indiqué qu' »ils avaient été rapidement évacués vers les installations médicales » du ministère russe de la Défense.

  • 13 h : quand les Ukrainiens récupèrent le matériel militaire abandonné par les Russes 

Notre correspondant en Ukraine, Gulliver Cragg, s’est rendu dans un atelier où des militaires ukrainiens récupèrent des armes laissées par les Russes sur le terrain, afin de les réparer et les adapter.

  • 12 h 16 : le trafic routier « rétabli » sur le pont de Crimée après une brève interruption

Le trafic routier a été « rétabli » sur le pont de Crimée après une très brève interruption, ont annoncé les autorités prorusses, à la suite d’une attaque imputée à Kiev qui a fait exploser un dépôt de munitions dans la péninsule ukrainienne annexée par la Russie.

« La circulation des véhicules sur le pont de Crimée a été rétablie », ont déclaré les autorités prorusses sur Telegram, après avoir annoncé quelques minutes plus tôt sa suspension.

  • 11 h 52 : l’attaque ukrainienne en Crimée a provoqué l' »explosion d’un dépôt de munitions » (autorités prorusses)

Une attaque ukrainienne de drones a provoqué l’explosion d’un dépôt de munitions en Crimée, a affirmé le gouverneur de cette péninsule annexée par Moscou en 2014, qui a ordonné l’évacuation de la population dans un rayon de cinq kilomètres et suspendu le trafic ferroviaire.

« À la suite d’une attaque de drones ennemis dans le district de Krasnogvardeïski, il y a eu une explosion dans un dépôt de munitions », a déclaré Sergueï Aksionov sur Telegram. « La décision a été prise d’évacuer les personnes habitant dans un rayon de cinq kilomètres. Afin de minimiser les risques, il a aussi été décidé de stopper le trafic ferroviaire », a-t-il ajouté.

  • 11 h 23 : le gouverneur de Belgorod accuse l’Ukraine d’avoir utilisé des armes à sous-munitions sur un village frontalier

Le gouverneur de la région russe de Belgorod, frontalière de l’Ukraine, a accusé Kiev d’avoir bombardé, la veille, le village de Jouravlevka avec des armes à sous-munitions.

« Dans la région de Belgorod, 21 tirs d’artillerie et trois d’armes à sous-munitions depuis un lance-roquettes multiples ont été effectués (par l’armée ukrainienne) sur le village de Jouralevka », a déclaré Viatcheslav Gladkov sur Telegram.

  • 10 h 58 : les autorités prorusses de Crimée accusent l’Ukraine d’une tentative d’attaque de drones

Le résumé de la semaineFrance 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaineJe m’abonne

L’Ukraine a tenté d’attaquer, avec des drones, des « infrastructures » du centre de la Crimée, a affirmé le chef des autorités locales prorusses de cette péninsule annexée en 2014 par Moscou.

« L’ennemi a tenté de mener un raid en utilisant des drones contre des infrastructures du district de Krasnogvardeïski de la République de Crimée », a déclaré Sergueï Aksionov.

  • L’essentiel du 21 juillet

La police russe a arrêté Igor Guirkine, connu sous le pseudonyme d’Igor Strelkov, un influent blogueur critique du commandement militaire russe et ancien chef séparatiste dans l’est de l’Ukraine.

Selon la Maison Blanche, l’Ukraine utilise depuis la semaine dernière les bombes à sous-munitions livrées par les États-Unis. Voici le fil du 21 juillet. 

Translate